En cette soirée ensoleillée du 13 juillet 2024, c’est sous la tente protocolaire, en compagnie de quelques présidents des différentes associations d’anciens combattants ainsi qu’avec les présidents des associations des ordres nationaux, des associations d’anciens officiers, sous-officiers d’active ou de réserve, que j’assite à cette cérémonie de la fête nationale qui se déroule pour la première fois sans la présence de militaires, excepté les cadres sans troupe, jeux olympiques obligent.
Ce sont les détachements de la DDSP 34, du SDIS 34, de la Sécurité civile et de la PMM de Béziers qui constituent les troupes mises en place. Puis c’est l’arrivée des porte-drapeaux des associations d’anciens combattants qui rejoignent le dispositif et se mettent en place à droite de la tente protocolaire. Vers 19 h, l’arrivée des autorités civiles et militaires autour du préfet François-Xavier Lauch est applaudie par le nombreux public présent. Les autorités militaires sont le général Thomas Deprecq et le DMD 34, le lieutenant-colonel Bertrand Soreau. Le préfet est accompagné du contrôleur général Éric Florès du SDIS 34, de Marjorie Ghizoli directrice interdépartementale de la police nationale, des députés Nathalie Oziol et Fanny Dombre Coste, des sénateurs Hussein Bourgi et Jean-Pierre Grand, du conseiller départemental Jean-Louis Gély, de la rectrice Sophie Béjean et de quelques consuls honoraires.
C’est le contrôleur général Florès qui passe les troupes en revue. Puis le général Deprecq remet des décorations 5 gendarmes : un chevalier de la Légion d’honneur, trois médaillés militaires et un chevalier de l’ordre national du Mérite.
Le contrôleur général Florès fait procéder ensuite à la remise des casques aux promotions 2023 et 2024 des sapeurs-pompiers. Les deux majors de promotion disent leur engagement à servir et être fier de leurs noms de promotion choisis : adjudant Julien Klépandy pour la promotion 2023 et Pic Saint-Loup pour celle de 2024. Les parrains et marraines rejoignent les rangs et remettent leurs casques aux nouveaux sapeurs-pompiers avant de repartir à leur emplacement initial.
Puis les autorités quittent la prise d’armes, suivis des drapeaux des associations, avant que l’officier du SDIS 34, commandant les troupes, fasse rompre le dispositif.
SLC